En 2011, j’ai arrêté le gymnase pour pouvoir vivre mon rêve de musicien. Partir en tournée avec un groupe. De toute façon, je n’étais pas fait pour les études. Je suis quelqu’un qui ne peut apprendre que par lui-même. La seule chose que je savais faire, c’est de la guitare.

Faire des concerts ça implique faire des répétitions. Se retrouver parfois dans un local qui sent la transpi, la bière, avec une vieille table de mix, un néon au plafond qui s’allume par intermittence.

C’est aussi se retrouver en groupe, tous ensemble, pour travailler sur le prochain concert, la prochaine session de studio ou simplement pour composer, essayer de nouvelles choses.

Cela dit, avec mon expérience de musicien, mais aussi plus récemment en tant que coach, j’ai pu observer qu’une répétition demandait beaucoup d’énergie et dépassait toujours largement le temps estimé.

Au lieu de considérer la personne en face de vous comme un ennemi, voyez-la comme un partenaire - un partenaire avec qui travailler pour atteindre un résultat mutuellement bénéfique.

Le stress… ce symptôme assez indéfinissable auquel on attribue tous les maux. Il est vrai que c’est un état puissant au point de perdre ses moyens. Ça peut même aller jusqu'à la crise d'angoisse, qui donne l’impression que l'on va vraiment mourir. Et pourtant, personne n'est mort d'une crise d'angoisse.

Dans l'univers de la création de contenu, en particulier dans le domaine de la musique, les artistes sont souvent confrontés à une variété de réactions de la part du public, que ce soit sur les réseaux sociaux, lors de concerts ou dans d'autres contextes. Certains commentaires peuvent être constructifs et encourageants, tandis que d'autres peuvent être toxiques ou haineux.

Réaliser que le professionnalisme musical va au-delà du niveau technique, c'est répondre aux attentes avec engagement.

Gérer les critiques négatives : gérer l'émotionnel, analyser objectivement et répondre de manière mesurée pour évoluer.